Il est des nuits si douces qu’on croirait le monde endormi dans un rêve.
Des nuits où l’air lui-même semble tissé de lumière, et où l’on devine, dans le bruissement des feuilles, la présence invisible de celles qu’on n’aperçoit qu’à demi : les fées.
Le Songe des Fées est né de cette heure suspendue, quand la forêt s’apaise et que la magie s’étire sur les fleurs.
C’est une bougie qui murmure à l’âme, une invitation à croire encore, à sentir ce souffle ancien qui relie la nature, le cœur et l’imaginaire.
Dès qu’elle s’allume, une onde lumineuse traverse la pièce.
Le cassis, profond et fruité, s’éveille comme un secret juteux au fond d’un panier d’été.
La bergamote, vive et solaire, ouvre les sens d’un éclat hespéridé qui évoque la rosée au matin.
Un accord fruité, tendre et sucré, enveloppe le tout d’une douceur rêveuse — un nectar d’innocence et de légèreté.
C’est la porte d’entrée du rêve, le seuil d’un royaume invisible où la joie a la couleur des fruits mûrs et des rires d’enfants.
Puis, au cœur de la fragrance, les fleurs s’élèvent, délicates et souveraines.
La rose déploie ses pétales, intemporelle et sensuelle, messagère d’amour et de beauté.
La pivoine, aérienne, vient lui prêter sa grâce fragile, comme un éclat de rire au milieu du silence.
Autour d’elles, les pétales de rose ajoutent une intensité presque charnelle : le cœur devient jardin, l’air devient caresse.
Chaque respiration semble bénie, chaque parfum évoque un souvenir de lumière, un éclat d’âme que l’on croyait perdu.
Le fond du parfum s’installe comme une étreinte.
Le musc, doux et enveloppant, caresse la peau d’une chaleur soyeuse, presque angélique.
Le bois d’ambre, quant à lui, infuse la composition d’une profondeur dorée, subtilement résineuse, rappelant la lumière chaude des fins de jour.
Enfin, un accord floral persistant demeure, délicat et raffiné, comme la traîne d’un songe qui refuse de s’éteindre.
C’est là que la magie s’installe véritablement : dans cette lenteur, cette tendresse, cette impression d’être entouré de bienveillance.
Le Songe des Fées n’est pas une bougie qu’on allume par hasard.
C’est un rituel, un appel à la douceur, un baume pour le cœur et l’esprit.
Elle réveille les vibrations fines, élève l’énergie du lieu, ramène la beauté là où le quotidien l’avait cachée.
Sa flamme n’éclaire pas : elle guérit, elle console, elle relie.
Son parfum agit comme un souffle lumineux qui chasse les peurs et invite la paix — celle des nuits d’été, des soirs étoilés, des âmes qui se souviennent encore de croire.
Lorsque Le Songe des Fées brûle, on jurerait entendre un rire léger dans le vent.
Peut-être est-ce une illusion, ou peut-être un signe.
Quoi qu’il en soit, le monde semble plus doux, plus lent, plus vivant.
Et quand la flamme s’éteint, il reste dans l’air ce parfum tendre et silencieux, comme le souvenir d’un rêve qu’on n’a pas envie de quitter — celui d’un royaume où les fées veillent encore, invisibles mais si proches, dans la lumière tremblante d’une bougie.
Coulée à la main dans son format collector (10 × 12,5 cm), elle abrite 460 ml de cire végétale pure, promesse de 60 à 70 heures de lumière enchantée.
Soixante heures de flamme douce pour éclairer les songes, bénir les espaces et inviter la féérie dans la maison.
Son parfum n’est pas qu’un sillage : c’est un portail vers l’enfance du monde, là où tout respire encore la pureté et la beauté du premier jour.
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